5/29/2005

une peu de douceur

ne saurait nuire.

Je réfléchis beaucoup, c'est vous qui m'y forcez (sans violence, je précise).

Si vous ne m'accordez plus même le caractère, l'attitude, les réflexes de protection qui ont toujours été les miens, alors, où est mon rôle dans cette scène ? Je connaissais par coeur mes répliques, mon jeu, les limites de mon personnage, et d'un simple revers de main vous balayez tout cela, sans me proposer rien en échange.

Quand aurez-vous enfin écris mes nouveaux dialogues ? Je m'impatiente ! j'avais pensé à tout pourtant, à votre outil de travail, et même au chien, c'est dire si j'avais pensé à tout. J'avais pris soin de prendre des nouvelles de votre moral, de vos distractions, de votre actualité en somme; et, sans complexe aucun, vous me renvoyez à mon cher foyer, dois-je le prendre mal?


Je n'essayais pourtant que d'apporter un peu de chaleur...

Vous en voudrais-je? Certes pas ...

Que le jour, la nuit, vous soient doux.

5/08/2005

voir

Voir... comme je m'avance! c'est à peine si je vous entends encore... Et je n'ose pas vous solliciter davantage. Certes, pendant ce mois et demi, je n'ai pas été à la hauteur, j'en conviens, mais disons alors que je n'étais pas moi-même, et vous aurez une idée de ce qui m'est arrivé en fait.
De la rue Doudeauville je n'ai aucune nouvelle, ni de votre visite au pays de Stanislas, mais il n'est pas temps de perdre espoir...
Puissiez-vous goûter au soleil en cet instant où je vous écris.
Que cette journée vous soit douce.