1/23/2005

Pas le temps, mais tout de même, sans nouvelles de ta part, je m'inquiète...

Voilà qui était bien mystérieux pour un message...
Les nombreuses interprétations mettent mon cerveau en émoi ; voilà qu’après de longs jours d’inactivité (se contentant de répondre à la question : qu’est-ce qu’on mange ce soir ?) mon cerveau donc, sans échauffement préalable, veut se mettre en danseuse et briguer le maillot à pois roses du meilleur grimpeur, tout ça parce que tu m’as envoyé un message... Laisse moi quelques heures et je te la décroche la spéciale, dit-il entre deux bouchées de viennoiserie et une pleine cuillère de sirop pour la toux (oui, j’ai été livrée tardivement...), bon, alors ? tu me laisses encore quelques heures ?


21 janv. 05

Donc, ma cervelle avait entrepris de relever le défi : comprendre la teneur de ton dernier message.
Bien entendu, deux choses retiennent particulièrement mon attention :
1/ le spectacle sur lequel tu travailles
2/ cette histoire d’influence ...
- sur la question numéro 1 je ne me fais pas d’illusion : je devrais finir par savoir de quoi il s’agit entre 72 & 48 heures avant le spectacle .
- « Il faudra que je te raconte à quel point ton influence se retrouve dans mon (presque) quotidien »
De 2 choses l’une, ou il s’agit d’une influence négative, mais comme on ne peut pas être le 19 ou le 29 tous les jours (non, mademoiselle on peut pas), et bien je cherche, je pédale. Mon cerveau, toujours sur la brèche, en tenue moulante (aérodynamisme oblige) met le paquet, change de braquet, sollicite le mollet de mes pensées autant que possible, mais... mais...mais... deux doigts sur la manette du frein, pour des fois, on ne sait jamais, qu’une descente subite autant qu’inattendue viendrait à se présenter.
Plein de choses me sont venues à l’esprit, et particulièrement mon 19 janvier qui a été disons le bien étrange, ce qui n’avait pas été le cas depuis une saison complète, bon, alors, si je reprends tout ce que j’ai pu dire auparavant sur l’interaction du 19/29 avec ta carrière théatrale, et si je considère le fait que ce 19 janvier je me suis rendue parfaitement ridicule au point de conclure que « y’a des jours, on ferait mieux de rester couchés, oui, vraiment », donc, si je suis ma logique, en contrepartie (puisque j’ai courageusement affronté mes démons de mon côté) les dieux (ex-machina, forcément) devraient t’être favorables... J’en arrive donc ainsi, subtilement à la deuxième des choses, qui serait une influence positive...

Il fait incroyablement chaud maintenant, ma gourde distille une eau tièdasse, l’inspiration peine à venir à mesure que l’altitude augmente, c’est le manque d’oxygène, ça, je reconnais...

Mais, bien entendu, tout cela n’a peut être aucun rapport avec le 19 ou le 29, mais peut-être plutôt avec la rue Doudeauville où, c’est posé définitivement, il n’y a pas de 19, mais, en lieu et place, des voies qui mènent vers un lieu où un autre, une direction ou une autre. Une fois encore, je m’interroge, la rue Doudeauville ne serait-elle pas dans cette histoire comme un berceau ?