2/20/2005

Ah! non, pas la bretelle ...

"Et, lorsque je la vis au seuil de sa maison
S'enfuir, je m'aperçus que je l'avais suivie.
Hélas ! mon cher ami, c'est là toute ma vie."

Que ces vacances vous soient douces...

j'ai oublié de citer l'auteur, c'est ça ? ... désolée...
ben, c'est Musset... (mais je le sais pas depuis longtemps, non plus!)

2/15/2005

vous dites ne pas toucher terre ...

je lève donc les yeux au ciel, entre moutonnements, et filament ténu (témoin fragile du passage à la verticale d'un bijou de technologie hexagonale - qui, moi? je paraphrase ?) , je balaie (du regard) et ne vous trouve pas...
...vous bougez trop chère amie, comment voulez que je réussisse cette photo ?
cela dit, votre téléphonique salut m'émût ( m'émovît ? m'émouva ? - enfin tout sauf meuh, quoi!) n'en déplaise à qui d'autre que vous me lira...
fait, le jour de la Saint Claude, pour valoir ce que de droit !

2/11/2005

vacuité

Quelques fois, et c'est comme un éclair de lucidité, on approche de la vacuité des choses.
Sans doute, chère amie, la relation entre les êtres est-elle cette vaste auberge espagnole, où chacun trouve ce qu'il apporte.
Je viens de remettre la main sur la conjugaison du verbe induire, et ça me donne le vertige.
Allez, disons que ce jour est un jour "sans" ; il est probable que, sous quinzaine, je n'y pense même plus... mais, pour aujourd'hui, ce présent est ... très présent.
Vous manquez; c'est à mon tour de [me mortifier, me languir] m'inquiéter de ce silence.

2/01/2005

Je suis pour la paix des méninges.

Un peu de vacances ne nous ferait pas de mal, pardi!
mais les pensées sont perverses et s'ingénient à vous lâcher au réveil, alors même qu'elles vous ont assailli au seuil du sommeil. A croire que le peu d'idées intéressantes ou distrayantes qui nous viennent sont livrées nuitamment par le wagon postal.
Je vous imagine, chère amie loin de ces préoccupations pseudo-littéraires, sciant, vissant, clouant ou, que sais-je ? Quoi qu'il en soit, vous ébattant en de saines activités physiques, toutes dévolues à la cause qui vous habite: j'ai nommé le théatre.
Comme mes démêlés méningés doivent vous sembler futiles vus de si loin...
Que cette journée vous soit douce.