1/25/2006

Amie

Vous qui m'avez toujours été si constante, je vous ai négligée ces temps derniers, vous me l'avez rappelé bien tendrement, et je sais qu'il n'est pas au monde de plus fidèle appui que vous.
je travaille, et j'essaie de vaincre ce trac qui tient plutôt à la prétention de se croire quelque valeur plutôt qu'à la crainte de mal faire. Je vais tenter de me faire plus humble et plus assidue.

Votre regard, même lointain prend vie, sachez-le.